Trucs pour accompagner son jeune

Le cheminement scolaire des jeunes est souvent ponctué de défis importants, et la motivation et la persévérance sont des éléments qui jouent un rôle essentiel dans l’atteinte d’objectifs liés à la réussite. En adoptant certains comportements, les parents peuvent contribuer positivement au bon cheminement du jeune. Voici quelques trucs et renseignements pertinents en lien avec ces sujets d’actualité.

D’autres trucs et conseils sont disponibles dans la section L’orientation de mon jeune.

Plus l’enfant entendra « du français » et plus il sera sensibilisé aux sons de la langue et développera sa compréhension de sa langue seconde.

Voici quelques moyens simples qui aideront votre enfant :

  • Écouter des émissions de télévision francophones pendant 30 minutes par jour;
  • Écouter des disques et des chanteurs francophones et essayer d’écrire les paroles des chansons;
  • Visionner des films connus en français. Comme on connaît déjà l’histoire, il sera facile de le comprendre en français;
  • Jouer à des jeux à l’ordinateur en français;
  • Lire des livres écrits en français 15 minutes par jour;
  • Inviter un ami francophone à venir jouer à la maison;
  • Jouer à des jeux de société.

Inscrire votre enfant à des activités sportives ou culturelles offertes par la municipalité :

  • Le soccer;
  • L’heure du conte;
  • Le camp de jour l’été;

Organiser des soirées thématiques à la maison :

  • Un souper par semaine pendant lequel on essaie de parler en français;
  • Une heure de jeu en famille en français;
  • Aller chercher des livres francophones à la bibliothèque municipale;

Ces moments partagés en famille en français enverront le message à vos enfants que vous trouvez cela important qu’ils apprennent à parler français.  Cela aura un impact sur leur motivation et les efforts qu’ils font pour apprendre la langue française.

Source : francisationcstl.wordpress.com, CSTL

L’école a souvent besoin de bénévoles pour certaines activités. Votre engagement, à titre de parent, peut être ponctuel ou plus soutenu, formel ou non.

Voici différentes possibilités :

  • Être présent lorsque l’école organise des activités communautaires (ex. : soirée cinéma, dîner communautaire) ou des concerts (ex. : concert de Noël).
  • Faire du bénévolat dans la classe de votre enfant ou à la bibliothèque de l’école (primaire) ou encore accompagner ponctuellement les élèves lors de sorties scolaires ou d’activités à l’école.
  • Devenir membre du conseil d’établissement, qui adopte le projet éducatif de l’école, voit à sa réalisation et l’évalue périodiquement, propose des services extrascolaires à mettre en place, veille à la concertation entre la communauté et l’école, etc.
  • Devenir membre de l’organisme de participation de parents (OPP). Les activités menées par ce groupe de parents bénévoles peuvent prendre de multiples de formes, comme organiser des groupes d’information pour les parents, des journées et des semaines thématiques; participer à des campagnes de souscription; prendre part à l’organisation d’activités parascolaires, de fêtes et d’autres événements importants; élaborer des projets d’amélioration de l’école (ex. : plantation de fleurs, création d’un journal scolaire, organisation de la fête des finissants).
  • Adhérer à un comité de parents dont le rôle principal est de conseiller la commission scolaire. Ce comité doit aussi promouvoir la participation des parents et les représenter auprès des autorités administratives.

Ces différentes options vous permettront de mieux connaître l’école et son fonctionnement, d’échanger avec d’autres parents et de faciliter votre intégration ou l’apprentissage du français, le cas échéant. L’école saura vous donner plus d’information si cela vous intéresse.

Source : TCRI – La collaboration famille-école-communauté

Source : magazine Naître et grandir
Recherche et rédaction : Nathalie Vallerand

Deux cultures, une identité

Vous, ses parents, êtes nés ailleurs, mais bébé, lui, est né au Québec. Comment l’aider à trouver son identité, lui qui est plongé dans deux cultures à la fois? N’est-ce pas un peu mêlant pour lui? Professeure d’anthropologie à l’Université de Montréal et directrice du Groupe de recherche diversité urbaine, Deirdre Meintel s’intéresse à ce qu’elle appelle joliment les « identités plurielles ». Selon elle, une fois devenus adultes, les enfants de parents immigrants se considèrent comme Québécois, mais avec un petit quelque chose de plus. « Ils ont vraiment une identité biculturelle et la plupart se sentent très à l’aise avec cela. »

Dans ses études, elle observe que les parents veulent que leurs enfants s’intègrent bien à la société québécoise tout en souhaitant qu’ils conservent leur héritage culturel. Et cet héritage, c’est essentiellement à la maison qu’il se transmet. « Les repas en famille autour de mets du pays d’origine, les fêtes, les traditions, la langue parlée sont autant de façons de connecter l’enfant à ses racines », dit Deirdre Meintel. Par ailleurs, grâce à des logiciels gratuits de vidéoconférence comme Skype, votre enfant peut désormais mieux connaître la parenté restée au pays et nouer avec elle des liens d’affection. Ainsi, s’il converse régulièrement avec grand-maman en lui montrant les beaux dessins qu’il a réalisés à son milieu de garde, elle ne sera plus pour lui une dame un peu intimidante qu’il voit une fois tous les 2 ans…

« L’enfant vit toujours dans le « ici et maintenant », précise pour sa part Michelle Marquis, consultante en pédagogie et en relations interculturelles. Il se construit donc une identité à partir de ce qu’il vit dans sa famille ainsi qu’à l’extérieur de la maison. » Voilà pourquoi il est important que les parents immigrants comprennent et acceptent la coexistence des deux cultures dans le coeur de leur enfant . Et le premier pas pour y arriver consiste à démontrer de l’ouverture envers les valeurs et les façons de faire du pays d’accueil. Tout simple, n’est-ce pas?

L’immigration québécoise en chiffres

  • De 2007 à 2011, le Québec a accueilli 245 606 immigrants, soit une moyenne annuelle de 49 121 personnes.
  • Les enfants âgés de moins de 15 ans composent près de 21 % des nouveaux arrivants.
  • Le Maroc, l’Algérie, la France, la Chine et Haïti sont les 5 principaux pays de naissance des immigrants.
Naitre et grandir.com


Source : 
magazine Naître et grandir, mai 2013
Recherche et rédaction : Nathalie Vallerand

Source : Alloprof parents

Qu’est-ce que l’estime de soi?

« L’estime de soi, c’est la conscience de sa valeur personnelle globale, en tenant compte de ses forces et limites. Il s’agit, en quelque sorte, d’un ensemble d’attitudes et de croyances qui nous permettent de faire face au monde. » (Duclos, 2010).

L’estime de soi se développe dès le plus jeune âge de l’enfant. Elle varie d’un domaine à l’autre et est relative à soi-même. Elle peut aussi être positive dans un domaine et plus négative dans un autre. Par exemple, l’enfant peut se sentir compétent dans les sports, mais nul en lecture.

L’importance des rétroactions positives

L’estime de soi se construit à partir des rétroactions positives des personnes importantes pour l’enfant qui lui confirment ses forces, ses qualités et ses réussites. Ainsi, les enfants apprennent à se voir à travers les yeux des personnes importantes pour lui (parents, frères et sœurs, enseignants, amis, etc.).

Le parent a la chance d’avoir une grande influence sur la perception que l’enfant aura de lui-même. Grâce à lui, il apprendra à connaître ses forces et ses défis, à s’accepter tel qu’il est, à s’aimer, à s’apprécier et surtout, à réaliser qu’il est important.

Aider son enfant à développer son estime de soi

Voici quelques suggestions pour aider son enfant à développer une bonne estime de soi.

L’aimer sans condition

Au-delà de l’amour inconditionnel que tous les parents portent à leur enfant, plusieurs attitudes favorisent le développement d’une estime de soi positive :

  • adopter une attitude chaleureuse,
  • accorder toute l’attention nécessaire à l’enfant,
  • utiliser un langage positif et valorisant,
  • souligner régulièrement ses gestes positifs,
  • éviter les mots qui blessent et le sarcasme
  • et éviter les comparaisons avec les autres.

Lui accorder du temps de qualité

Le parent peut s’intéresser à son enfant simplement en étant attentif à ce qu’il fait, à ses intérêts, à ses passions et en lui partageant ses propres souvenirs et expériences.

On peut prévoir des moments pendant lesquels on se consacrera entièrement à son enfant. Valoriser ses initiatives, encourager sa créativité, lui rappeler ses réussites, s’intéresser à ce qu’il fait et tout simplement s’amuser avec lui contribuent à développer son estime de soi.

L’aider à mieux se connaître

En incitant son enfant à développer ses goûts et ses intérêts, le parent lui apprend à reconnaître ses forces et ses défis.

Pour aider l’enfant à mieux se connaître et à développer une perception réaliste de lui-même, le parent peut :

  • souligner régulièrement ses gestes positifs,
  • valoriser ses succès et ses forces,
  • offrir soutien face à ses difficultés,
  • lui accorder le droit à l’erreur,
  • et favoriser l’expression de ses sentiments et émotions.

Développer son autonomie

  • Il est important pour l’enfant de voir que son parent lui fait confiance. Ainsi, lui confier des responsabilités adaptées à ses capacités, l’encourager à faire des choix, et respecter ses motivations et ses intérêts lui permettront non seulement de développer son estime de soi, mais également son autonomie.
  • Si un problème survient ou si votre enfant fait une erreur, une bonne attitude à adopter est d’accorder plus d’importance à la démarche d’apprentissage qu’au résultat. Également, il est bon de miser sur le comportement plutôt que sur les difficultés de votre enfant.

Comment être un bon modèle pour son enfant?

Saviez-vous que l’enfant apprend beaucoup en imitant son parent?

Ainsi, en travaillant sur sa propre estime de soi, le parent aidera son enfant à développer la sienne! Pour ce faire, voici quelques suggestions :

  • Partager, avec son enfant, ses bons coups tout comme ses moins bons, sans douter de ses capacités. Votre enfant apprendra que l’erreur fait partie du processus d’apprentissage puisqu’elle permet de se réajuster et de faire autrement ensuite.
  • Au besoin, on se rappelle qu’il est sain de prendre les moyens nécessaires pour aller mieux et d’oser demander de l’aide. Ainsi, on démontre à son enfant qu‘on est conscient, comme parent, de son importance et de sa valeur.

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Rédaction : Julie Philippon

Révision scientifique : Anne Poirier St-Onge, psychoéducatrice

Révision linguistique : Josée Tardif

Par Amélie Cournoyer, Alloprof Parents

Le parcours scolaire est semé d’obstacles et de défis que les enfants doivent apprendre à surmonter pour réussir. Mais faire preuve de persévérance n’est pas toujours facile pour un jeune. En tant que parent, il existe des façons de soutenir votre enfant dans cet apprentissage.  Découvrez les attitudes et comportements que les experts de la future plateforme d’Alloprof Parents suggèrent de privilégier.

L’importance de la persévérance

La persévérance, c’est la faculté de poursuivre son objectif malgré les difficultés, de se montrer tenace et déterminé devant les obstacles. Cette qualité peut aider le jeune à s’épanouir dans plusieurs sphères de sa vie et pour l’élève, elle représente un atout indéniable dans sa réussite scolaire.

Loin d’être innée, la persévérance est le fruit d’un apprentissage que l’enfant pourra acquérir grâce au soutien d’adultes significatifs. À cet égard, les parents peuvent être, pour leur enfant, des modèles marquants.

Un apprentissage à faire dès l’enfance

En enseignant la persévérance à son enfant dès son plus jeune âge, le parent l’aidera à prendre conscience de ses talents et à déployer son plein potentiel. Il lui fournira aussi les outils nécessaires pour devenir autonome et responsable, et il favorisera le développement de sa confiance et son estime de soi. Évidemment, ces apprentissages lui seront utiles tout au long de son parcours scolaire.

Pour y parvenir, le parent peut, par exemple:

  • éviter de faire les choses à la place de son enfant (comme l’habiller ou ranger sa chambre).
  • le faire participer aux tâches ménagères en lui donnant des corvées adaptées à son âge.

Évidemment, il est important, d’abord et avant, de lui exprimer ses attentes pour ensuite le laisser aller quand il aura bien compris.

De plus, qu’il s’agisse d’un devoir, d’un casse-tête ou d’une activité sportive à laquelle il est inscrit, le jeune doit apprendre à terminer ce qu’il entreprend, même s’il perd de l’intérêt ou qu’il rencontre des difficultés en cours de route.

Aussi, il est fortement suggéré de renforcer positivement les comportements du jeune. En effet, celui-ci s’attribue certaines qualités ou défauts selon la façon dont il se sent perçu par les adultes et les enfants de son entourage.

Cultiver la persévérance

Le goût de l’effort ne s’acquiert pas aussi facilement pour tous les jeunes. Cet important apprentissage s’échelonne donc souvent dans le temps, et le parent peut poser plusieurs gestes concrets afin de cultiver, au quotidien, la persévérance scolaire de son enfant :

  • S’impliquer dans ses apprentissages, entre autres par le biais des devoirs et des leçons, et à l’école grâce aux rencontres de parents avec le professeur, aux événements spéciaux, et aux différents comités scolaires.
  • Entretenir des attentes réalistes à son égard en respectant son rythme d’apprentissage.
  • Valoriser autant les efforts que les résultats en soulignant, par exemple, les efforts déployés pour étudier ses mots de vocabulaire chaque soir, plutôt que de le féliciter seulement pour ses performances habituelles en mathématiques.
  • Valoriser l’importance de l’école auprès de son enfant.
  • Fractionner une tâche ou un devoir qui semble trop long ou trop difficile en plusieurs petites étapes plus faciles à réaliser.
  • Mettre en place des mesures favorisant les comportements positifs. Par exemple : instaurer des règles et un système de renforcement positif.
  • Lui démontrer votre confiance en lui et en ses capacités en lui donnant des responsabilités.
  • Inscrire votre enfant à une activité sportive ou une activité parascolaire qui lui permettra de développer son goût de l’effort et du dépassement.
  • Relativiser les échecs en expliquant qu’ils font partie de l’apprentissage et que tout le monde en vit.
  • Miser sur ses forces et ses capacités à surmonter les difficultés, sans le comparer aux autres enfants.
  • Lui montrer l’exemple en étant vous-même, autant que possible, motivé, persévérant et positif devant les obstacles.
  • Pour un adolescent, le parent peut l’encourager à obtenir un emploi rémunéré pour un maximum de 10 heures par semaine. Il s’agit d’un pas important vers l’autonomie. Toutefois, un nombre d’heures plus élevé pourrait augmenter le stress et la fatigue et ainsi, avoir un impact négatif sur sa persévérance et sa motivation scolaire. Puisque l’adolescent n’a pas beaucoup d’expérience, il est important que le parent lui manifeste son soutien pour trouver un équilibre avec ses études, qui peuvent être très exigeantes.
  • Parler avec son jeune de ses projets d’avenir, des perspectives d’emploi et de la scolarité.

En somme, la persévérance est une qualité que votre enfant pourra développer graduellement, entre autres grâce à votre aide et à celle des adultes significatifs qui gravitent autour de lui.

Écrit par Amélie Cournoyer

Alloprof Parents

La motivation scolaire, ce n’est pas inné pour tous les jeunes. La bonne nouvelle, c’est que le parent peut aider son enfant à développer davantage sa motivation scolaire, puis à l’alimenter afin qu’il connaisse la réussite. Un accompagnement « petit pas par petit pas » permettra d’enchaîner les succès : à chaque réussite, la confiance montera d’un cran et, avec elle, la motivation nécessaire pour poursuivre.

La réussite scolaire doit beaucoup à la motivation. Plus l’enfant est convaincu de sa capacité à réussir, plus il sera motivé à accomplir la tâche et à donner le meilleur de lui-même.

Comme parent, vous pouvez inspirer votre enfant à nourrir cette confiance en sa réussite.

La confiance, un beau cadeau à offrir

Prenez deux élèves qui possèdent des habiletés intellectuelles égales : celui qui a une grande confiance en ses capacités aura plus de chance de réussir que l’autre qui sous-estime sa compétence (Bouffard, 2011).

Sachant cela, nous partageons avec vous 5 trucs pour amener votre enfant à avoir confiance en ses capacités intellectuelles :

1- Morceler la tâche
Si la tâche à réaliser est complexe, il est suggéré de la diviser en petites tâches simples et de s’assurer que chacune d’elles soit à la portée du potentiel de l’enfant.

2- Revenir à la base
Si l’enfant ne comprend pas une notion, revenir à la base avec lui peut faciliter les choses. Après en avoir discuté avec l’enseignant, le parent peut, par exemple, donner à son enfant des exercices plus faciles liés à ce qu’il doit apprendre.

3- Mettre à profit ses forces
En proposant à l’enfant des activités qui mettent à contribution ses plus grandes forces, il se sentira compétent et goûtera à la réussite.

4- Utiliser les services d’aide
S’il a des difficultés d’apprentissage majeures, il existe des services d’aide auxquels l’élève a droit et dont il pourrait tirer profit. Cela vaut la peine de s’informer : il trouvera dans ces services d’aide les bons outils qui l’aideront à vivre des réussites.

5- Envisager de l’aide extérieure
L’enfant peut appeler les enseignants qui travaillent chez Alloprof quand il a une question sur son devoir. Il s’agit d’une aide personnalisée et gratuite où les enseignants prennent tout le temps nécessaire pour bien expliquer les notions et rassurer l’enfant, au besoin. Dans certains cas, un tuteur privé peut s’avérer être une aide intéressante. Un tuteur offre une dynamique d’apprentissage personnalisée qui peut davantage convenir à certains enfants.

Le bon mot à la maison pour s’épanouir à l’école

Les encouragements du parent contribuent également à donner confiance à l’enfant en sa réussite. Un bon mot sur ses efforts scolaires, et il se sentira bien. S’il se sent bien, il sera disposé à progresser dans son apprentissage.

Parmi les stratégies d’encouragement et de renforcement positif qui favorisent son épanouissement, le parent peut, par exemple :

Encourager… juste assez
Lui adresser un mot d’encouragement lorsque c’est mérité. Cela veut dire ni trop souvent, ni trop rarement, ni trop intensément : il s’agit d’être sincère.

Reconnaître ses progrès
L’aider à reconnaître ses progrès, ses efforts, ses réussites et ses forces.

Être présent
Offrir une présence bienveillante auprès de lui pendant la période des devoirs : « Si tu as besoin de moi, je suis disponible pour t’aider. »

Écouter et guider
Être à l’écoute de l’enfant et le guider, sans lui dicter quoi faire. Il se plaint de l’école? Il n’y a pas de mal à reconnaître avec lui qu’il peut y avoir des aspects négatifs, tout en soulignant ensuite les points positifs afin de l’encourager.

Valoriser l’effort
Valoriser davantage l’effort que le résultat obtenu.

Reconnaître ses capacités
Adapter ses attentes aux capacités de l’enfant.

En somme, on retiendra que la présence et la disponibilité parentale dans la vie scolaire de l’enfant peuvent favorablement influencer la motivation de ce dernier. Participer aux rencontres de parents, aux activités scolaires, et s’engager positivement dans le cheminement scolaire de l’enfant sont toutes des actions concrètes démontrant à l’enfant l’importance de l’éducation comme valeur familiale.

Réécriture : Viviane Asselin

Révision scientifique : Anne-Marie Audet, psychoéducatrice

Révision linguistique : Josée Tardif